Dentifrice gelé

16 Août 2010

Journée froide, -6 degré, toujours à l'abri Vallon, dentifrice gelé
du beau temps annoncé pour demain pour descendre
à voir !
15 août 2010

Il faut de plus en plus froid, -5 degré dans l'abri. Eh, oui, je suis toujours à 4400m d'altitude. MA SIXIÈME NUIT ! Un royaume pour un lit ! Je ne peut pas bouger car il y a trop de neige et un risque d'avalanches. Prise de contact avec PGHM de Chamonix - secours des hautes montagnes. Ils me conseillent de rester encore une nuit. Nouveau RDV par le poste SOS demain à 8 heures.

Arrivé !

13 août 2010

Sur le toit de l'Europe entre 10h45 et 11h45. Je suis enfin arrivé ! Quelle splendeur, une vue magnifique, le temps s'arrête ... je suis aux Anges!

HAPPY BIRTHDAY

12 août 2010

Day off for my birthday. Snowstorm outside. I am alone. I am very tired.

My birthday meal: Pastas with frankfurter ! my first hot meal since 4 days. I am happy!

Waiting for the sun (I think I am dreaming à little bit) or waiting only for the end of the storm.

Journée difficile

11 août 2010

Départ 11h30
Couloir du Gouter à 3770 m passé
A partir de 4200 m brouillard et vent fort.. pas de visibilité à 10m - LOST IN SPACE NO IN THE MOUNTAINS

Perdu pendant une heure - seul au monde ! Une pensée à tous ceux et celles qui sont avec moi dans leurs pensées .... j'ai retrouvé le bon chemin ou plutôt l'abri Vallot à 4370 m à 20h08. SAUVE!

Résumé de la deuxième journée

10 août 2010 - 22 heures

32T0330704
UTM5080300

Voici mes exploits de cette belle journée :

- arrivée aux Rousses à 3180 m d’altitude
- temps de marche : 7 heures
- températures : 31° dégrée au plus chaud, 21° dégrée à 19 h, 5° dégrée à 21h

Bonne nuit à tout le monde. Pensez à moi dans ma tente sur la neige.

Premier jour et déjà une rencontre avec des vaches

10 août 2010

Je viens de passer ma première nuit sous les belles étoiles de ma montagne si adorée... voici mon point de chute après 1815 m d'altitude et pour une nuit à 9 dégrée:
32T0328522
UTM5080995

Après avoir fait des courses hier soir, mon sac à dos s'est alourdi mais les 40 kg me permettraient de survivre 12 jours en autonomie pure, j'ai passé une nuit agitée (avec du tonnerre et des légères pluies) et courte car à 7 heures du matin ( et cela pendant les grandes vacances d'été !) 5 belles vaches, attirées par mon parfum ou mes pieds, léchaient ma tente. Réveil en sursaut mais récompensé par un petit déjeuner au soleil et un démarrage tardive à 11h30 en direction du nid d'aigle.

Objectif du jour: atteindre les Rousses à 3300 m d'altitude.

Une aventure à suivre. Vive la vie!

EPURE II - MONT BLANC

9 août 2010
Bonjour à tous,

Et voici cette nouvelle Aventure qui va commencer... aujourd'hui !
Train 9h10 demain, Gare de Lyon... et c'est parti.

78 kg tout sec
+ 36 kg de bagages
+ un peu d'eau...

EPURE II, sans velo mais toujours avec les panneaux solaires et les sacs poubelles afin de nettoyer mon passage sur ces terres blanches.
Cette année, 2 drapeaux font partis de mon paquetage.
En route...
Et a tout bientôt

stefan*

La veille du départ pour le Mont Blanc

Un bon plat de pommes de terre avec des "Gemüse" - l'un des rares mots allemands que Stefan maitrise depuis peu ... il aura du temps pour ses révisions tout en haut du beau toit de l'Europe... et bientôt c'est parti mon KIKI. Une nouvelle aventure à suivre et à vivre en direct sur ce site... qui nous aime nous suive ! A*

NICE – 2010 – TRIATHLON IRONMAN – 3,8/180/42,2

27 juin 2010

Bonjour les amis,

Un grand merci à tous ceux qui m’ont suivi et qui m’ont apporté leur soutien pendant ces quelques jours très particuliers, inouïs, inoubliables, remplis d’Emotions… Magiques. Il semblerait que RadioFranceAzur.com ai réalisé une émission très réussie ce dimanche pendant la course avec interviews, informations, rencontre d’athlètes et de spectateurs (dixit une fervente auditrice)… et Ironmanlive.com qui permettait de suivre en direct l’évolution de tous les athlètes sur l’ensemble du parcours de l’épreuve de Nice. Vous vous êtes prêtés au jeu… moi aussi ! de l’autre côté de l’écran.
Samedi très chargé de préparatifs et d’organisation ; place au hasard, parmi les 2750 compétiteurs et peut-être 300 bénévoles, j’enregistre mon vélo de course et le fait contrôler par un des nombreux arbitres… qui s’approche et qui n’est autre que notre Patrice ex membre du club d’Ozoir !
Chaud chaud devant… 27°C ! Soleil au Zénith.

Nuit évidemment très courte, toujours aussi tranquillement agitée la veille d’une telle épreuve, 4h30 de sommeil, levé 4h du mat, arrivée à Nice à 5h30 pour les derniers préparatifs vélo et mon engloutissement dans ma combinaison néoprène… attention ne pas oublier la crème afin d’éviter les brûlures ! Ça, c’est ce que je croyais encore à cette heure matinale… à demi réveillé ! Parce que je ne parle pas ici des brûlures dues aux coups de soleil qui vous transforment en écrevisse, mais bien de celles qui vous laissent des marques sur tout le tour du coup tel un pendu, ces frottements de néoprène à vous rendre la peau à vif après ces kilomètres à crawler comme un diable dans l’océan. Coup d’œil sur mon joli vélo de course, vite fait bien fait, gonflage des roues 5 bars, mon voisin 8 bars de pression ! il est fou ! un autre sûrement encore un peu plus…(fou) le pneu explose ! 2 pétards dans le parking à vélos… et déjà les premiers changements de pneus avant même d’être parti.

27 juin 2010 – 6h30, parqués tous ensemble sur la plage niçoise pour un tir groupé… L’Ironman France peut commencer.
Pan ! plouf, plouf, plouffff… 5500 bras s’agitent, battent dans l’air et dans l’eau azur… je ne vois même pas la première bouée à 1km au large et là vous vous dites qu’habituellement vous ne nagez pas trop loin de la plage lorsque vous n’avez plus pieds ! mazette !), je suis donc juste les embruns 100m devant moi causés par ces crawleurs, disons un peu plus rapides… ma combinaison glisse, un coup de tête à gauche et je vois le soleil d’or s’envoler gentiment des toits des maisons, un coup de tête à droite et je regarde mon voisin, voisine ? afin de ne pas trop zigzaguer dans l’eau sans repère fixe. Claque des vagues légères, je bois la tasse à souhait, claque sur la tête, coup dans mes lunettes, on « m’arrache » le pied, un coup sur le dos… bref, telle une marre aux canards remplie de 2000 becs qui s’agitent ? Sortie à l’Australienne pour une deuxième boucle dans ce bain club Med ; ça fait toujours bien et ça impressionne l’assemblée de dire cela… « sortie à l’Australienne », de la balle ! En fait, on sort de l’eau après la première boucle, course sur la plage, applaudissements NON tempérés des spectateurs plus agités que nous, et replongeons pour une deuxième boucle… et voilà donc en grande « pompe » (nus pieds), ma « sortie à l’Australienne ». L’heure et demi passe bien vite dirais-je, à mon très grand étonnement, après ces oh combien difficiles 5 entraînements dans l’année en piscine ! Chut, Ne le dites pas à mon cher président de club !

Sorti heureux de cette Mer Méditerranée, la langue râpeuse et la bouche sèche comme le désert d’Atacama (oui, c’est un peu plus loin)… vite de l’eau ! Transition en douceur (ça veut dire pommade, cuissard molletonné pour les 180 bornes, et oui plus de 4 minutes pour la transition et au passage merci à la bénévole de transition ! Ah bon, elle était blonde ?). Tiens, la pommade sur le coup me fais découvrir toutes les brûlures que j’ai, un peu comme verser un flacon d’alcool à 90°C sur une jolie plaie ouverte, ça fait zigzigzigg dans tout le corps. Mais nous ne sommes pas là pour jouer les « chochottes », alors on je serre les dents et la prochaine fois (s’il y en a une) je m’étalerai généreusement une vraie graisse de phoque sur le tour du coup au lieu d’une petite crème de bronzage ? Ensuite, prise de vélo rapide… ça ne veut pas forcément dire que je courais comme un Kenyan, mais euh, là le parc était déjà presque vide ! pas besoin de chercher mon vélo au moins ! tiens, je ne suis pas sorti dans les premiers de l’eau ? Démarrage impeccable, je monte entre 32 et 35 km/h… malgré ce « vent de terre » sur les 30 premiers km à l’aller, ce sera « vent de mer » au retour sur le même tronçon, bref un vent de face en continu (pour les non initiés) sur la plat et celui-ci n’était point zéphyrien ! On s’éloigne des côtes pour découvrir l’arrière pays niçois et ses jolies montagnes, les 6 cols (0 à 1200m d’altitude). Alors comment dire, disons que, après ce « démarrage impeccable », j’ai eu un p’tit coup de barre vers les 60 km, genre je monte à 10km/h une côte de… 22 kilomètres en continu ? à ce rythme je vais mettre 18h rien que pour l’épreuve vélo ! Allez, on se ressaisit, et là je pense à cette fusée… oui, oui, cette fusée que j’ai dépassé à seulement 27 km/h en pleine côte au km20. Casque aérodynamique profilé, tête de tueur, vélo de chrono allongé type Tour de France, toute la dernière technologie cycliste, il ne manquait plus que le moteur électrique cachées dans son cadre… mais là, il avait pt’être les jambes lourdes, ou mal digéré son ptit dej, bref le cador n’avançait pas ! Et zou, un de plus… km82, on passe enfin LE COL ! (et pourtant ce n’était pas le Mont Ventoux ! ça, ce sera pour plus tard en septembre…). Descente guère meilleure, je ne dépasse pas les 40km/h…on me double ! Satanas ! on passe une forêt, tiens il reste encore 77km, une pensée pour les parents de Seine-et-Marne, deux tours de roues plus loin et plus que 75km de l’arrivée et une pensée pour celle qui est restée à la maison scotchée sur Internet Ironmanlive… et tous les amis parisiens. Et voilà, c’est une épreuve difficile, éprouvante, mais également remplie d’Emotions, de beauté, de sport et d’Aventure, de cohésion et d’amitiés furtives, de partenaires de parcours ou de côtes, de vitesse… même s’ils changent « à chaque virage » ils sont toujours quelque part avec vous. La forêt s’éloigne, le kilométrage défile, les premières prises de ravitaillement à la volée laissent place à des arrêts de 30 secondes pour s’hydrater et avaler un gel au goût plus que douteux…ou du Cola…chaud ! et puis voilà, la magie aussi nous appartient, km 130 je repars comme une fusée en phase de lancement (promis il n’y avait rien d’interdit dans le gel !), j’attaque les descentes comme un jeune loup, 55 km/h au compteur, non, non, on ne me dépasse plus, virages coupés à la mode VTT, anticipé la route loin devant… et je m’Eclate ! Les paysages splendides défilent, les maisons perchées dans les montagnes, les vallées vertes et luxuriantes… parlons-en tiens, qui dit vallée, dit descente… dit ravins, pente très raide, gouffres ? précipices… en dehors de la route, dit GRAAAAVE devant poussez-vous ! un regard de trop près sur mon compteur et c’est le vélo qui s’emballe vers le raaaaaaavvvinnnnn !zxw**$+ ??ZZ !! AAARRRCCHHHH !!! Chaud Show devant ! les secondes sont longues, le cœur s’emballe, la sueur s’active, un coup de guidon vers la route et c’est la Vie retrouvée ! ouff, plus jamais le regard égaré sur le compteur en descente ! Les 50 derniers kilomètres sont avalés à près de 40 km/h de moyenne, c’est de la Dynamite ! Profitions, profitons… on ne sait jamais ce qui va nous attendre par la suite… En premier résumé, parcours natation filant sur l’eau, tracé vélo plutôt chaotique avec des accélérations… et des décélérations ! Mais tout de même plus de 750 jambes dépassées !

La transition course à pied est soudainement plus… disons allure Spa, non, non, pas le circuit de Forumle1, nous ne sommes pas en Belgique, mais plutôt la salle de relaxation aux huiles essentielles, je ne vous fait pas de dessin, j’y suis resté presque 8 minutes ?! C’est avec des jambes impeccables que je repars sur le circuit de course à pied pour « The Marathon », les 42,2 km en quatre boucles le long de « The Promenade of The English people, Oh my godness ! ». Je démarre tout juste lorsque Olivier Marceau (triple participant aux Jeux Olympiques depuis 2000, pour l’histoire le Triathlon est invité pour la première fois à entrer dans les Jeux Olympiques en 2000 à Sydney !) termine l’Ironman… tout presque un passage de bâton relais. La rigolade s’arrête ici, je découvre qu’un corps même entier ne me permet pas de passer la première ! J’ai comme une impression de faire du sur place… Et je fais du sur place ! Les kilomètres ne défilent pas, que dis-je, les hectomètres ne défilent pas ! Je passe sous toutes les douches fraîches disposées sur le parcours, mais rien n’y fait… pour l’anecdote je m’arrête tiens là comme ça d’un coup sur un siège abris Bus, oui il fait toujours aussi chaud à 16h, et puis…zzz, zzzzzz, ça vous ai déjà arrivé à vous de vous endormir en 9 secondes chrono (mieux qu’Usain Bolt sur 100m) et d’être sûrement très loin sur une île paradisiaque… lorsqu’un cri « stefan », « STEfan », « STEFAN ! » oups, c’est moi qu’on appel ? cerveau fermé, depuis bien longtemps déjà, j’ouvre les yeux, un espagnol sur le trottoir d’en face hèle à tout va mon prénom indiqué en gras sur mon dossard… « don’t sleep ! » et tel un soldat je me lève, et je… cours ? enfin j’avance quoi. Viva Espana ! mais depuis combien de temps je dormais ? chhuuuuttt, c’est pas l’moment. Et j’allais oublier, la télé ! micro au poing, suivi d’un boy au pas de course avec sa caméra de 10kg, « et alors monsieur, pourquoi courez-vous ? et blablabla… et c’est dur ? » Je ne pensais même plus que l’on posait toujours la même question ! « Eh bien, il me reste Trois petits tours… et puis je deviendrai… ». Je passe sur TF1 là ? Mais après la première, il y a l’anecdote bis ! Troisième tours, je ne sais pourquoi , mon cerveau ne sait pourquoi, mes jambes peut être, je m’écroule telle une grosse vache sur l’herbe fraîche… eh bien ça n’a même pas duré 9 secondes cette fois-ci qu’un italien avec son superbe accent anglais, ou le contraire, vient à mon secours ? « Don’t sleep ! you must stand up, walk »…du genre « lève-toi et marche »… mais avec une coach attitude en plus ! J’ai droit à 60 belles secondes de massage jambes à la mode italienne, « dorlotage » VIP s’il vous plait ! chouette alors ! J’aurais presque envie de recommencer ; bon d’accord je me lève, ou plutôt il me lève… et je trottine… et puis je me fais aussi plaisir en soutenant d’un « courage » avec conviction un coureur ? marcheur ? que je dépasse… péniblement, mais… le temps ne compte plus, qu’est-ce que le temps dans ces moments de dépassement de soi, l’instant est oh combien inoubliable ; dernier retour le long de la plage, ces 5 derniers kilomètres se précisent et c’est… la débâcle ? C’est toujours avec un sentiment particulier que l’on termine une telle épreuve, la dernière fois que je passe ce check point horaire, ce ravitaillement, que je vois cette Mer Méditerranée de cette manière, tout est la dernière fois avant, avant la fin, l’appétit vous vient soudainement, celui de contrôler son corps, son souffle, de braver la fatigue, la cadence s’accélère et le « sprint » se précise (attention, chacun son niveau après la douzaine d’heures de course !). J’en double un, puis deux, trois d’un coup, j’essaie de rattraper celui au loin ; l’envie soudaine d’exprimer toute cette dernière énergie à gambader comme à travers champs à grandes enjambées, la vitesse arrive, 2, 3, 4 fois plus rapide que la première boucle ! Ah si seulement ! Des rires, des Ola, Hola ? des clapclaps, tout ce qui vous fait vibrer et débouler « à tout berzingue » pour un final Majestueux comme chacun seul peut mieux le rêver. Les 14 heures de compétition en continu sont belles et bien dépassées, mais Quelle Histoire ! ou plutôt Quelles Histoires ! Ici, point de place pour des corps pusillanimes, la souffrance laisse place honorable à la Magie et à l’Emotion qui se veut maintenant seule maître à bord. Accueil sous la ligne d’arrivée en fanfare, j’y suis, traversant la haie d’honneur des douze arbitres comme suivant l’Etoile du Nord et arrivant à destination… Trois petits tours et puis je deviens…Ironman !

Médaille, tee-shirt de Finisher, photos, bonsoir à la caméra et… découverte de « la tente », non pas celle des vainqueurs, non plus celle des tests anti-dopage, mais celle ou s’entassent 10 ? 30 ? non, plutôt 60 coureurs allongés sur leur lit avec perfusions de glucose roborative pendues à un fil ; allez les petits, il faut manger liquide maintenant, tous à la soupe… croyez-moi, ce n’est pas de l’hypocondrie ! Prise de tension assez étrange avec une infirmière Pamela à chacun de mes bras en attente du verdict… ouf j’échappe à la poche liquide, je peux sortir… mais en fait, je ne suis plus vraiment là à cet instant (merci à mes accompagnateurs qui me seront d’un aide précieuse dans ces moments ailleurs). Je ne ressens même plus mes brûlures au cou, qui mettront d’ailleurs plus d’un mois pour disparaîtrent.

Le lendemain, la soirée des Finishers fut beaucoup plus festive ! Non, les Triathlètes ne sont pas abstèmes mais bien noceurs et point de cascarets, de forfantes ou de cuistres ! Rencontre avec les Pro, tous accointables et affables, les vrais = 30h d’entrainement par semaine depuis plus de 15 ans me dit Olivier M., rien que ça ? Photos obligées avec la, les premiers et blabla chaleureux avec tous ces… ovnis identifiés ? Mais dans cette assemblée, tout le monde se ressemble, les Pro, les avertis aguerris, les entrés en religion, ou même les « étourdis aventuriers » comme moi ; une fois entrée dans la « Famille » on ne parle pas ou peu de temps, mais plutôt d’épreuve et de découverte, de plaisir et de douleur… mais ici, nous l’avons fait et nous sommes tout simplement Ensemble… un bel esprit d’Equipe règne dans ce sport où chaque homme se retrouve en fait seul au monde dans l’épreuve.



Merci à ceux qui m’ont soutenu, suivi avant pendant ou après l’épreuve, mais aussi à ceux qui me demandent parfois un peu plus d’Emotions partagées, d’Aventure, ou simplement de récits, ceux qui veulent savoir, apprendre ou découvrir… rêver avec nous…
Merci.


Srefan A* .N° 1534. Un peu hédoniste ?
« Fais ce que tu voudras avoir fait… »

Au fait, vous savez, sans être biologiste, diététicien, médecin alimentaire ou une autre sommité de ce genre, j’ai un petit remède pour ceux et celles qui voudraient retrouver une ligne svelte de super Jaimie ou de Ken avant d’aller gambader (je n’ai pas dit s’exhiber !) sur les plages cet été… un petit Ironman, et hop ce sont 6kg en une journée qui « se font la malle ». Vous pouvez boire ou manger autant que vous voulez vos bananes, gels, barres céréales, sucre, Cola… rien n’y fait !
Alors… Bonnes Vacances !